Croisières, et voyage en bateau, pas facile quand on n’a pas les pieds marins ! Pour vous aider à prévenir le mal de mer pendant les vacances, ces quelques remèdes naturels vous aideront à mettre fin aux sensations désagréables.
Le gingembre
Avant de faire le grand saut, pensez à bien vous remplir le ventre, les nausées s’amplifient avec l’estomac vide. Mais, on n’a pas manqué de dénicher pour vous quelques astuces qui fonctionnent contre cette sensation pénible. Le gingembre, par ses vertus thérapeutiques, stoppent les nausées et vomissements. Il agit sur la muqueuse de l’estomac assez rapidement, en calmant les douleurs. Il existe sous forme de gélules de poudre, encore plus efficaces sous cette version minuscule. Vous vous sentirez nettement mieux après la première prise.
L’huile essentielle de citron
On apprécie particulièrement le citron pour son odeur apaisante. Cette fois, on en fera bon usage pendant les vacances au soleil. Si à la base, elle atterrit dans nos plats, et parfument nos boissons fétiches en été, le citron devient notre meilleur allié lors des balades à la mer. Dans sa version raffinée d’huile essentielle, il réduit les mouvements de l’appareil digestif, aidant à mieux se détendre, et à retrouver naturellement la forme. Pour l’utiliser, vous verserez quelques petites gouttes dans un mouchoir, et respirez à chaque fois que vous ressentez le besoin.
La bonne posture
Eh oui, vous l’aurez compris, il suffit d’un rien pour garder la santé au-delà de la terre ferme. Le mal de mer n’a rien de très amusant on vous l’accorde. Et pourtant, quelques bons gestes suffisent pour dire adieu aux vertiges, et aux vomissements pendant que les autres prennent du bon temps à rire, et à trinquer. Un petit remède miracle : Adoptez la bonne posture ! Une fois à bord, mettez-vous à l’aise, prenez place, le dos bien droit, respirez une bouffée d’air, expirez et détendez vos muscles. Ce sont les conflits entre les sens qui provoqueraient les mouvements contradictoires du corps et de la mer. A ce niveau, le cerveau n’a pas accès aux informations transmises par les sens, ce qui donne facilement place au malaise.