Aussi bien les jeunes que les trentenaires sont maintenant engagés des missions humanitaires dans les différents pays du monde. Pour des soins de qualité, ou pour la construction d’habitation, pour l’accès à l’eau potable ou pour bien d’autres objectifs encore : les missions sont nombreuses et s’adaptent à toutes les compétences disponibles. Et ce sera pour les jeunes un moyen de peaufiner la qualité de leur CV.
Pour vous qui avez envie de ce genre de voyage, voici notamment quelques bons à savoir.
Une journée de repos au minimum par semaine
Les voyageurs bénévoles sont comme n’importe quel travailleur, à la différence près qu’ils ne touchent pas de salaire. En tant que prestataires, ils ont droit à des journées de repos. Ce peut être le temps d’un week-end ou le dimanche uniquement. Tout dépend du travail à faire et de l’organisme qui vous envoie.
Pendant votre temps libre, vous pourriez en profiter pour visiter la région. Faites-vous cependant toujours accompagné par un local pour des raisons de sécurité.
Une indemnité de déplacement
Certes, les voyageurs bénévoles ne touchent pas de revenu, mais ils bénéficient tout de même d’indemnité de déplacement. Comme quoi tout travail mérite salaire.
Par le biais de cette indemnité, l’organisme qui l’a envoyé sur place prend en charge ses dépenses : nourriture, prise en charge médicale, locomotion, etc. Selon le cas, cette somme peut être ou non suffisante pour vos dépenses mensuelles. D’où l’importance notamment d’avoir tout de même une source de revenue venant du pays.
Le montant des indemnités est négociable avant de décoller pour votre voyage humanitaire. Vous allez passer par des entretiens, comme pour l’obtention de n’importe quel poste, avant de préparer vos papiers et vos valises. C’est notamment pendant ces discussions que la question devra être soulevée pour éviter tout malentendu.
Un hébergement
Et bien évidemment, ce sera à l’association de prendre en charge l’hébergement des voyageurs bénévoles une fois sur place. Cette dépense ne fait partie des indemnités. Selon le cas qui se présente, vous aurez à loger chez des habitants ou dans les associations elles-mêmes, voire dans un appartement prévu à cet effet. Mais en tous les cas, ne vous attendez pas à un hôtel 5 étoiles.
