Vous entendez souvent parler ces derniers temps de voyage écolo. Mais en quoi consiste vraiment ce nouveau concept ? Le voyage écolo touche tout l’ensemble de votre voyage dès le choix du mode de transport jusqu’au mode de restauration, en passant surtout sur votre attitude sur place : ce qu’il faut faire et ne pas faire durant votre séjour.
Des gestes simples pour préserver l’environnement
Vous aimez voyager et parcourez souvent les blogs comme http://www.creationvoyages.com pour trouver votre prochaine destination de voyage ? Sachez qu’organiser vos voyages autour du monde c’est bien, mais c’est encore mieux si vous vous informez aussi sur les bonnes manières de voyager. En effet, l’idéal serait que vous rejoignez le groupe des voyageurs responsables. Comment ? Tout simplement en voyageant écolo.
Voyager écolo, c’est d’abord préserver l’environnement. Il faut donc éviter tout geste qui peut altérer l’environnement comme faire ses besoins n’importe où, même si vous êtes au milieu de nulle part, jeter ses ordures par terre comme les mouchoirs en papier, les canettes écrasées. Il faut respecter la nature ! Ne jetez pas même votre peau de banane par terre puisqu’elle met 8 à 10 mois pour se décomposer. Pensez aux dégâts engendrés si les autres centaines et milliers de touristes font de même. Voyager ne devrait plus être un facteur de pollution de la planète.
Que faire face à la faune et à la flore locale ?
Une des meilleures attractions que préfèrent les touristes est d’observer la faune et la flore locale. Ces animaux que l’on ne trouve pas chez soi. On a tout de suite envie de les toucher, les caresser et les nourrir. Mais, les conséquences de ces gestes innocents sont parfois dramatiques. Caresser les bébés animaux modifie leur odeur et leur mère ne peut plus les reconnaître et risquent alors de les abandonner. Enfin, ne donnez pas à manger aux animaux au risque de leur causer des troubles digestifs. Même si l’animal semble apprécier votre pain ou vos chips croustillantes, ceci ne convient pas à son alimentation.
